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mardi 6 août 2013

Homelie du Diacre Baudouin sur l’Evangile selon St. Mc 9, 30-37 à l’occasion d’une messe fériale

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Homelie du Diacre Baudouin sur l’Evangile selon St. Mc 9, 30-37 à l’occasion d’une messe fériale
« La préséance est une aiguille » (OBUKULU NI MBINDWA)
www.rfiafrique.radio.frwww.afria1.radio.frIl  y a lieu de fonder toute une théologie et une philosophie sur l’interprétation de ce proverbe.  La préséance, la grandeur, l’autorité, voilà le thème focal au sujet duquel les disciples débattaient en chemin en partance vers Capharnaüm. Curieusement Jésus était entrain de suivre discrètement leur débat. Et peut-être se disait-il, ces gens comprennent-ils et connaissent-ils le sens et la gravité de ce dont ils discutent et de ce à quoi ils aspirent avec empressement ?  Voilà pourquoi, une fois arrivé à la maison, Jésus leur pose une question test et curieuse : « De quoi discutiez-vous en  chemin ? » Le texte de l’Evangile nous dit que les disciples n’osèrent pas répliquer, la question leur parut peu facile et tentatieuse ; car, en chemin,  ils discutaient au sujet de «qui est le plus grand ». Voilà qui préoccupait ces si grands hommes comme les disciples.
La tentation du pouvoir, de l’avoir et de l’être, voilà qui, malheureusement, gouverne le monde : être grand, régner, dominer les autres. La course au pouvoir pour des honneurs, pour la fortune, la gloire, la popularité,…  L’on ne sait pas une minute comprendre combien il est exigent d’être le plus grand !!!   C’est pourquoi, heureusement peut-être, les disciples se sont abstenus de répondre à la question. 
Alors Jésus  en profite pour les instruire. Il leur dit : « Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous ». C’est cela, en effet, qui vaut à quelqu’un la grandeur dans la logique de la Loi nouvelle (morale chrétienne).
« La préséance est une aiguille »
Nul ‘ignore, que je le sache, l’aiguille et son rôle. L’aiguille est un outil métallique miniaturisé, pointu à une extrême et pourvu d’un trou effilé à un autre extrême, lequel instrument sert à coudre, c’est-à-dire à unir ou à rassembler des étoffes éparpillées  pour en faire une seul tissu en vue d’un usage bien précis et bien approprié. Néanmoins, pour mener cette entreprise, il importe de remarquer que l’aiguille n’y parvient pas toute seule, elle ne s’autosuffit  pas ; elle a inexorablement  besoin du concours d’un fil à coudre et du soutien d’un couturier. Tout de même, le fil ne peut intervenir si et seulement si l’aiguille est pourvue d’un orifice qu’on appelle champ de l’aiguille.  Enfin, pour attacher, pour relier une étoffe à une autre, l’aiguille doit inévitablement percer l’étoffe.  Et elle ne réussira que si cette étoffe accepte d’être percée.
« La préséance est une aiguille »  Que signifie cette image vous présenté?
L’aiguille c’est l’autorité (la grandeur), le fil dont l’autorité se sert, c’est la sagesse en même temps que le concours, la collaboration des autres.  L’autorité doit savoir collaborer et faire collaborer les autres à son ouvrage pour atteindre son objectif (d’où le proverbe : « OMWAMI NI BALUME »). Cette collaboration n’est possible que dans la mesure où l’autorité (la supérieur) est ouverte aux autres, ses subalternes. C’est ce que symbolise le trou sur l’aiguille.
L’autorité doit être rigoureuse, déterminée, opiniâtre et perspicace pour rassembler ses membres ; elle est même parfois obligée de les blesser pour les reprendre. C’est ce que symbolise la partie pointue de l’aiguille. Or, l’expérience prouve qu’il n’est pas facile pour certains d’accueillir et d’intégrer les reproches, c’est-à-dire, se laisser percé par cette aiguille rassemblante, réconciliante et unifiante. C’est justement là que réside la complication, la lourdeur de la responsabilité d’une autorité (du ou de la supérieur). Elle est parfois taxée de tous les maux possibles, de toutes les « mauvaises qualifications ». C’est pourquoi elle (l’aiguille, l’autorité) doit être soutenue par Dieu, ce grand Couturier qui confère légitiment l’autorité à quelqu’un.
En sus, nous ne sommes pas sans savoir que l’aiguille, en dépit de ce qu’elle peut avoir comme rôle ou valeur, elle est la plus négligée des choses, la dernière des pacotilles.  Il suffit qu’elle tombe par terre pour qu’elle disparaisse si bien qu’on a même besoin d’user d’une lampe torche en pleine journée pour la retrouver. Elle est parfois piétinée, foulée au pied sans que personne ne s’en rende compte. Et  d’ailleurs, c’est une malchance de trouver  en chemin une aiguille et de la ramasser, dit-on ! (c’est une superstitution de la culture nande). Voilà pourquoi, Jésus dit : « Si quelqu’un veut être le plus grand, le premier, qu’il soit le dernier et le serviteur de tous ». Telle est l’image que doit refleter, une autorité (Supérieur, chef, formateur, président, bref, toute personne qui assume la responsabilité du « N°1 » dans une entité quelconque).
Et Ben Sirac le sage nous prévient avec insistance en ces termes : « Mon fils, ma fille, si tu prétends servir le Seigneur, prépare-toi à l’épreuve. Fais-toi un cœur grand et droit, arme-toi du courage, ne te laisse pas affaiblir et entraîner au moment de l’adversité, des calomnies, des pourparlers, des médisances. Tout ce qui t’advient, accepte-le, dans les vicissitudes de ta pauvre condition, montre-toi patient(e) car l’or est éprouvé dans le feu et les élus dans la fournaise de l’humiliation. Mets ta confiance en Dieu, Il te viendra en aide. Malheur aux cœurs lâches et aux mains nonchalantes » (cfr Si 2, 1-13).
Et moi j’adresse ce message à tous ceux qui jouissent d’une autorité, surtout la responsabilité de guider et de gouverner ses semblables: Eh bien sachez qu’  « on ne peut pas conduire un troupeau sans s’exposer aux mouches ». Merci
KAHINDO MAKUKO Baldovino, osc

jeudi 28 juillet 2011

L’ORDINE DELLA SANTA CROCE

, una storina


Siamo religiosi dell’Ordo della Santa Croce. Una famiglia religiosa missionaria dei Padri e Frati. In questa esposizione, vogliamo parlare brevemente del fondatore e del fondamento della vita dei Padri e Frati dell’Ordo della Santa Croce. ( I Crocigeri)

I. Fondatore e breve storia

Teodore di Celles è il fondatore. ‘E nato nel 1166. Teodore è di nazionalità belga. Ha participato alla terza crociata. Nel 1191, visita Gerusalemo dove fa la conoscenza dei canonici dei santa sepolcro che vivavano secondo il regola di santo Agostino.

Teodore è stato affascinato dalla loro vita di preghiera, loro accoglienza dei malati e dei pellegrini. Ritorna in Belgio nel 1207 e prende il carico della cattedrale di « Liège » che il principe vescovo di Zähringen gli aveva dato.

Nel 1209, Teodore parte verso il sud della Francia per predicare contre le eresie dei albigiosi (albigeois). Fonda l’Ordo della Santa Croce nel 1210 a « Liège » dove si ritira con alcuni altri confratelli a « Clarus Locus » (Clair-Lieu) per reazione alla vita facile dei alcuni Padri dell’epoca.
Nel 1216, riceve la confirmazione della sua fondazione religiosa dal Papa Innoncento III : Nel 1231, Teodore diventa caro amico di Santo Dominico e del vescovo FOLQUET di Toulouse cacciato della sua sede dai albigiosi. Il 18 Luglio 1236, muore.

Nel 1248, Il Papa Innoncento IV approva le constituzioni e da all’Ordo della Santa Croce la regola di santo Agostino. I missionari dell’Ordo della Santa Croce sono in Congo da 1920, cioè 91 anni fa.

II. Fondamento della vita dei religiosi della Santa Croce

L’ordine della Santa Croce s’ispira del Vangello della regola di santo Agostino, ai besogni veri della tradizione, ai valori della Chiesa attuale e della società di nostro tempo (constituzione n°14). Percio, nostra carisma ha tre pilastri :
- la communione
- il culto, cioè la liturgia e
- la carità

LES DIFFERENTES STATUES DE LA VIERGE MARIE

D’entrée de jeu, il est à noter que les différentes formes de statues de la vierge Marie dépendent grandement des apparitions (Apparitions mariales à travers le monde : Lourdes, La Salette, Fatima, Médaille miraculeuse, Pontmain, Pellevoisin, Banneux, Beauraing, etc.) ou alors des personnes à qui Marie est apparue. Aussi les différentes statues dans diverses positions et dans différents lieux, traduisent-elles et expliquent-elles le qualificatif de Marie « Pleine de grâces », parce qu’en effet, chaque apparition communique une grâce spéciale.

Ce n’est pas au hasard que les statues de la vierge Marie ont été sculptées. Il se révèle vrai que ces statues ont été faites à partir des descriptions données par ceux qui avaient bénéficié des apparitions de Marie.

En titre illustratif, nous pouvons citer :

Marie avec les mains jointes, chapelet suspendu sur son bras droit : Cette statue relève de l’apparition de Marie à Bernadette à Lourdes (France). Elle représente Marie comme femme orante intercédant pour nous les humains.

Marie avec bras étendus avec des rayons de lumière qui partent de ses mains : cette statue s’explique par l’apparition de Marie à Fatima, une petite ville au centre du Portugal. Ex. quand elle est apparue aux trois enfants en 1917. Cette représentation symbolise La vierge Marie comme une femme pleine de grâces. Les bras étendus sont un signe d’accueil et de distribution de ses grâces aux hommes qui sollicitent son intercession

Marie assise sur le trône, couronne sur la tête avec l’Enfant Jésus sur ses jambes : Cette statue décrit Marie quand elle est apparue sur le Mont Carmel en Israël en 1251. Cette forme de statue représente Marie comme mère du Seigneur «theotokos» et reine du ciel.

Marie avec larmes coulant de ses yeux : Cette statue a trait à l’apparition de Maie dans une petite ville de l’Italie. Marie qui pleure à cause de la perversion des hommes, de leur infidélité à Dieu.

Marie piétinant la tête du serpent : c’est une statue qui représente Marie comme la nouvelle Eve différente de l’ancienne qui a succombé aux tentations du diable et par qui le péché est entré dans le monde. Mais par la nouvelle Eve, Marie le salut est entré dans le monde. Son oui a possibilisé le projet de Dieu de sceller une nouvelle Alliance avec les hommes en Jésus son Fils unique qui naîtrait d’elle.

Marie avec cœur ouvert : représente son coeur immaculé.

Notons enfin, qu’aujourd’hui, les diverses représentations de Marie dépendent non seulement de comment Marie s’est présentée lors de son apparition, mais aussi, il convient de souligner que ses statues sont déjà inculturées. Leurs formes varient d’un pays à un, d’un milieu à un autre, d’une culture à une autre, d’une expérience personnelle.

mercredi 9 juin 2010

L'ENGAGEMENT QU'EST-CE?

Engagement implique préalablement un choix, et choix suppose qu'il y a eu renoncement à une ou plusieurs possibilités parce qu'on ne peut opérer un choix qu'entre deux ou plusieurs choses. On choisit une fois pour toute et on s'y engage après avoir peser le pour et le contre. Cela est une raison pour dire "Félicitation" ces jeunes sœurs qui osent s'engager encore aujourd'hui, nous ne pouvons que leur souhaiter fidélité à leur engagement pour la sequella christi

mardi 8 juin 2010

Le chef de l'Etat et sa pensée du jour


Les réformes institutionnelles ont pris du retard et la vision démocratique est en voie d’oubli. Dans un rapport publié le week-end dernier, l’organisation non gouvernementale International Crisis Group (ICG) estime que Kinshasa ne tient pas les promesses faites en 2006.
Pour Guillaume Lacaille, analyste du Congo à ICG, Joseph Kabila concentre tous les pouvoirs au détriment des autres institutions. Il a expliqué :
Le pouvoir du Premier ministre, pourtant chef du gouvernement, est largement limité. Il est inquiétant de voir que des conseillers à la présidence aient plus de pouvoir que des ministres en exercice. Toutes les affaires de sécurité à l’est du pays ont été reprises par des conseillers plutôt que par le ministère de la Défense ou des Affaires étrangères.

lundi 7 juin 2010

LA FEMME EN ITALIE, Une traduction de l'Italien en Français (La donna in Italia) + Un commentaire



Depuis toujours nous avons entendu parler des qualités de la femme italienne : excellente femme, excellente mère, bienheureuse de sa condition dans la vie de chaque jour. Jalouse. On a voulu qu’elle fût spécialement "femme et mère".

L’idée de la vraie femme n’était pas celle de la figure presque masculine, qui veut devenir "quelqu’un" même dans les domaines qui ne semblaient pas vraiment féminins, en science, en art, dans les affaires. La femme était telle, quand elle pouvait répondre : "moi je suis la femme de…", "moi je suis la mère de …".

Aujourd’hui si une femme regarde à la valeur de sa vie à 30 ans, elle s’aperçoit que ce n’est pas beaucoup. On ne doit pas oublier que dans le passé une grande famille impliquait la femme dans un tel travail pour lui donner un sens de la véritable (propre) utile présence : on faisait des habits pour tous dans la maison, on préparait une bonne cuisine pour plusieurs personnes, et "toutes les femmes" de la famille soignaient "le bon gouvernement " de la maison qui donnait toujours ses fruits. La femme prenait part aux travaux de l’agriculture, et aidait souvent dans les autres travaux.

C’était une manière pour démontrer le pouvoir propre de créer quelque chose. Aujourd’hui la femme a autour d’elle un vide, un vide qu’elle appelle souvent manque d’amour. Et elle n’est pas contente.

Une enquête, il y a quelque temps, en effet, a assez clairement dit que la femme italienne n’est pas heureuse, elle est profondément seule, elle est profondément déçue.
Pourtant, disent les hommes, nombreuses de ces femmes devraient être sereines et heureuses ; elles ont des maisons avec tout ce qui rend la vie plus commode, elles ont un mari qu’elles aiment et qui les aime, des fils pleins de santé, d’intelligence, de vie.

La vérité est une autre. La femme de la maison est trop occupée. Tout ce qu’un temps pouvait être suffisant pour la compléter et remplir la vie, aujourd’hui ne suffit plus. Maison, fils (enfants), mari ne la laissent plus une minute pour respirer et pour se reposer.

Elle n’a plus de temps pour lire, pour se rencontrer et parler avec les autres, elle vit dans un monde trop petit et pauvre pour se sentir complète.

Quelles voies s’ouvrent aujourd’hui à la femme italienne pour faire meilleure sa propre vie? Non pas déjà celle du divorce, ou celle d’abandonner les enfants (fils et la maison. Le choix n’est plus entre mariage et liberté.

Certes, le travail domestique n’est pas tout, mais seule une charge à porter jusqu’au bout d’une façon (dans le mode) plus simple et rapide. Le mariage, les fils, sont importants dans la vie d’une femme mais ne sont pas le seul point d’arrivée.

La femme veut un propre travail personnel, qui puisse lui donner la mesure de sa propre personnalité. Son travail ne veut être en dehors de la maison, mais quelque chose de sérieux, avec des vrais problèmes.

On n’accepte plus l’idée de la femme par rapport à l’homme, et de l’homme qui cherche et a besoin de l’affection maternelle. En somme : l’homme ne doit plus être le patron qui peut tout se permettre et la femme ne doit exister seule pour l’aider.

Un petit commentaire en Italien, (pour ceux qui ne connaissent pas le français)

Dopo la lettura di questo testo, penso che il problema della donna italianna è anche di quasi tutte le donne del mondo. In passato la donna era redotta alla sua propria condizione : fare i lavori domestichi, occuparsi del suo marito o di suoi figli, e niente che quello.

Eppura, come dice il testo, è capace di molto. Lavorare nella politica, nell’arte, fare la scienza e anche governare una nazione. Oggi la donna commincia da affirmarsi nella societa, è una buana cosa. Ma si puo sempre vedere che le donne vogliono rimanere fiere di essere chiamate « moglie di… » ; « madre di… ». Quello fa la sua felicità.

samedi 5 juin 2010

ILLUSTRATION DE LA FRATERNITE


Voici un exemple d'une vie fraternelle
Une vie où il n'y a pas de distinction
de race ni de sexe,
Une vie où tous s'appellent "frères", "soeurs",
Une vie sans complexe
Une vie configurée à celle de la première communauté primitive.